A livre ouvert avec Dimitri Elias Léger

En janvier dernier, FOKAL a accueilli Dimitri Elias Léger qui a présenté son dernier roman  God loves Haiti  publié chez Harper Collins http://www.harpercollins.com/9780062348135/god-loves-haiti). L’auteur, qui a grandi entre Haïti et les Etats-Unis, nous invite à plonger dans son univers de lecture dans cette édition d’ A livre ouvert. Il a fait des études à St. John’s University et à Harvard Kennedy School of Government. Il a travaillé au Miami Herald, Fortune magazine, the Source magazine et a publié des articles au New York Times, Newsweek etc. En 2010, il a travaillé comme conseiller aux Nations Unies dans les actions humanitaires en Haïti après le tremblement de terre.

 « Un écrivain c’est comme un athlète » 

Lire est une activité qu’il prend très au sérieux car il est doublement appelé à y passer du temps. D’ailleurs, pour lui la lecture est non seulement un devoir mais aussi une activité de loisir.  Un devoir parce que pour écrire il faut lire. C’est pourquoi il considère le métier d’écrivain comme celui d’athlète. Lire c’est l’échauffement, les exercices physiques, l’entrainement de l’athlète avant d’entrer en compétition. 

Il est de ceux qui aiment « les histoires où les cultures peuvent se mêler, les histoires internationales ». Comme la vie d’un Arabe en France, d’un Dominicain aux Etats-Unis.  

De ses lectures 

Sa plus récente lecture : le premier roman de Makenzy Orcel, Les immortelles, sorti en 2010.  Ce dernier est précédé de deux recueils de poésie publiés en 2007 (La douleur de l'étreinte) et 2009 (Sans ailleurs). Son deuxième roman, Les Latrines, est sorti en octobre 2011. 

De ses recommandations de lecture plutôt anglophones, Dimitri Elias Léger nous invite à retenir : The brief wondrous life of Oscar Wao de Junot Diaz ainsi que le dernier roman de cet auteur américain d’origine dominicaine  «This is how you lose her ». 

Lost heart of Italy de Andrea Lee et  Claire of the sea light qui raconte l’histoire d’une petite fille à Léogâne d’Edwige Danticat. Cette dernière mérite une mention spéciale de sa part : «  Edwige Danticat est l’auteure haïtienne qui un jour gagnera le prix Nobel de littérature ! Il faut lire tous ses livres », recommande-t-il.   

Avec God Loves Haïti, Dimitri Elias Léger nous invite à découvrir une histoire d’amour, de politique et de religion dans un Port-au-Prince dévasté par le séisme du 12 janvier 2010. 

Cliquez ici pour écouter la capsule A livre ouvert avec Dimitri Elias Léger   http://youtu.be/-GLV7ogr6qs 

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